Confession : l'autrice de ces lignes fait partie de celles que les pubs Rodier ont construites en tant que femme. Ah, ça, on ne la lui fait pas, à celle qui assure en Rodier. Se lever et se casser d'un conseil d'administration parce que « son jules à 39 de fièvre »? À l'aise ! Jouer de son charme pour braquer la bagnole d'un quidam ? Finger in the nose ! Sanglée dans ses tailleurs à épaulettes, trépignant en talons aiguille, cette superwoman des années 80 a réussi l'amalgame de l'autorité et du charme, comme dirait l'autre. La femme Rodier, piquante et un peu pimbêche, ouvre la voie à une autre incarnation eighties qui ne s'en laisse pas compter : la femme Barbara Gould...