La Cnil irlandaise, qui étudiait le dossier depuis plusieurs mois, a notifié les autres autorités européennes de ne plus qu’elle allait interdire au géant Meta de ne plus pouvoir transférer ses données aux Etats-Unis, en raison des risques portées par l’accès aux données de la part des services secrets américains, selon des informations de Politico. La société de Mark Zuckerberg, qui alertait depuis plusieurs années sur ce risque dans son rapport financier annuel avait prévenu qu’il pourrait dans ce cas couper ses réseaux Instagram et Facebook en Europe. Les Cnil des autres pays européens ont quatre semaines pour se positionner sur le sujet.
