L’ONU s’inquiète et ne veut pas abandonner le développement de l’intelligence artificielle (IA) et les risques associés « aux caprices » du marché. Les experts de l’organisation internationale ont plaidé jeudi 19 septembre pour des outils de coopération internationale, sans aller toutefois jusqu’à une agence mondiale de gouvernance, dans leur premier rapport, à quelques jours du « Sommet pour l’avenir », de New York. Il y fait état du « déficit de gouvernance mondiale en matière d’IA », et de l’exclusion des pays en développement des discussions sur le sujet. Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU avait mis en place ce comité d’une quarantaine d’experts du monde universitaire, de gouvernements ou encore du secteur privé, l’année dernière.

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