« Le palmarès des agences françaises au niveau international s'est largement étoffé ces dernières années. Il y a encore 15 ans, nous n'avions d'yeux que pour les agences anglo-saxonnes. Aujourd'hui, il n’est plus si surprenant de voir des Grands Prix français dans les festivals les plus prestigieux. Il faut s'en féliciter. J'ai juste deux regrets. Premièrement, quand on regarde un écran publicitaire, le niveau moyen est extrêmement faible. Deuxièmement, il y a trop de campagnes "charity", des campagnes qui veulent soi-disant changer le monde. Comme si le publicitaire cherchait sa rédemption. Refaisons de la publicité qui vend VRAIMENT les produits ou les services de nos clients avec émotion, humour, surprise. Donnons du plaisir aux gens. Et faisons-les marrer bordel ! On en a plus que jamais besoin après cette crise sanitaire. »