Entre septembre et décembre, les instances dirigeantes des fédérations sportives s'apprêtent à renouveler leur exécutif, et ce, dans un contexte particulièrement critique. Mais en quoi les scrutins sont-ils d'ordre politique ? On a posé la question à Jean-Baptiste Guégan expert en géopolitique du sport.

Entre septembre et décembre 2024, plusieurs fédérations sportives organisent leurs élections pour désigner leurs futurs présidents ou présidentes. Et pour la première fois dans les élections fédérales qui se déroulent tous les quatre ans, la loi sport de mars 2022, visant à démocratiser le sport, impose trois restrictions : la limite de trois mandats, la parité dans les listes et le poids du vote des clubs. 

Post-Paris 2024, les élections fédérales concernent notamment plusieurs disciplines olympiques dont le judo, l'escrime ou encore le cyclisme. Dans cette vidéo pour son format Marketing sportif, Stratégies s'est notamment concentré sur trois élections fédérales pour lesquelles le contexte est particulièrement critique : la fédération française de boxe, la fédération française de karaté et la fédération française de football

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«Post-Paris 2024, il y a une nécessité de construire un héritage qui pour l'instant n'existe pas, de prendre de nouvelles places, car il y a un renouvellement des acteurs. Et puis, il y aura les Jeux de 2028», soulève Jean-Baptiste Guégan, expert en géopolitique du sport.

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