Paroles de jurés
Suzanne Babey : RESPONSABLE DU DÉPARTEMENT INTERNET CHEZ NESTLÉ FRANCE
« Participer à un jury est toujours enrichissant. Les angles d'attaque changent, les préoccupations ne sont pas les mêmes selon les sensibilités ou les fonctions. Cela vous donne souvent des clés pour résoudre vos propres problèmes. Le choix du site " Pourquoi la vache qui rit rit " est très intéressant car il est simple, bien réalisé. Et, surtout, il génère une réelle synergie entre le hors et le en ligne. C'est une très bonne utilisation d'Internet pour ce qu'il apporte de plus : l'interactivité. »
Laurent de Bar : MANAGER INTERNET CHEZ NISSAN EUROPE
« Je retiens de ce palmarès la diversité des propositions. Internet est devenu une plate-forme publicitaire et promotionnelle aux multiples possibilités, un média qui s'est taillé une place à part entière et ouvre des perspectives de communication inédites. Les initiatives sur le Web sont aujourd'hui particulièrement innovantes, aussi bien au niveau des services que de l'interactivité. Le palmarès et la composition du jury illustrent cette diversité. »
Paul de Labriffe : CHARGÉ DE COMMUNICATION CHEZ MCDONALD'S FRANCE
« Ce palmarès est une satisfaction : il démontre l'intérêt et l'efficacité des dispositifs de communication, qui mêlent la puissance des médias traditionnels et l'interactivité des nouveaux. Dans ce domaine, beaucoup de choses restent à inventer, en particulier pour les marques de grande consommation. Le Grand Prix en est une bonne illustration. »
Sophie Messager : RESPONSABLE INTERNET CHEZ CNP ASSURANCES
« Participer à ce jury était une expérience enrichissante et sympathique. Mais, dans certains cas, on nous a demandé de comparer des choux et des carottes. Si le Grand Prix doit récompenser des actions de communication, il faudrait exclure de la compétition les sites corporate. Et créer, pourquoi pas, un prix consacré aux sites par secteur d'activité. Au-delà de ces remarques, j'adhère au palmarès. »
Philippe Cornet : RESPONSABLE DU SERVICE NOUVEAUX MÉDIAS CHEZ RENAULT
« Être juré est une formidable occasion de benchmarking et d'échanges. Cela m'a donné des éléments de compréhension du marché. Sur le fond, je dirais que nous avons eu à choisir parmi des réalisations stratégiquement abouties et de moins en moins gratuites, comme Perrier Fluo ou La Vache qui rit. Même si je ne me suis pas forcément retrouvé dans la short list finale... Moi, j'aurais bien récompensé Seven Up. La question des catégories reste posée : il me semble difficile de comparer des sites événementiels et des sites permanents, une campagne de publicité à un minisite. »
Thibaut Court : RESPONSABLE DU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL DES NOUVEAUX MÉDIAS CHEZ VIRGIN FRANCE
« Le Grand PrixStratégiesde l'Internet est l'occasion de faire le point sur les projets marquants de l'année. Il s'est arrêté pour cette édition sur la pertinence et la créativité d'agences telles que Carat, Arc ou encore Milk, autant d'approches et de signatures différentes qui font la richesse du média Internet. Merci à Stratégies pour cette initiative. »
Guillaume Soler : RESPONSABLE MARKETING À LA DIRECTION E-DÉVELOPPEMENT DU CRÉDIT AGRICOLE
« Ce Grand Prix représente une bouffée d'air pur dans l'e-morosité ambiante. Il y a toujours une grande source de créativité dans le Web et cette démarche dynamique est encourageante. Malgré une certaine frilosité sur les grands projets industriels, les annonceurs et leurs conseils ont encore cette volonté d'utiliser au maximum les possibilités d'Internet dans sa dimension média. En revanche, reste à prendre pleinement en compte le rôle du Net comme moteur de la relation client, en allant au bout de la démarche. »
Anne Toledano : VICE-PRÉSIDENTE E-BUSINESS AU CRÉDIT LYONNAIS
« Concernant l'organisation du prix, je vote une mention pourStratégies, nuancée d'un bémol pour la catégorisation des sites. Sur le palmarès, j'ai remarqué qu'il est parfois difficile de garder en tête l'objectif initial de l'annonceur et que la création a tendance à être surpondérée dans l'avis final des jurés. Du coup, les aspects budgétaires me semblent sous-évalués. Au final, j'ai appris beaucoup sur les problématiques de mes confrères et sur l'état de l'art aujourd'hui. »