C’est désormais une Pénélope et non plus un Ulysse, qui permettra de comprendre en un clin d’œil l’avis des critiques de Télérama. Depuis 70 ans, ce pictogramme, souvent remanié, avait les traits d’un garçon. « Nous voulions proposer non plus 4 mais 5 niveaux d’appréciation : hélas, bof, bien, très bien et bravo, souligne Catherine Sueur, présidente de Télérama. Et nous avions dans l’idée de faire évoluer le personnage dessiné en 2012 par Riad Sattouf. Cela nous est alors apparu comme une évidence de le féminiser. Nous avons proposé à Pénélope Bagieu de s’en charger ». L’hebdo qui affiche 400 000 abonnés print et 28 000 abonnés au numérique (+15 % versus 2020) et 12 millions de visites par moi sur son site réaffirme ainsi son rôle de journal prescripteur.