La messagerie Telegram a supprimé certains contenus pornographiques après une requête de l’autorité sud-coréenne de régulation des médias, a rapporté mardi l’agence de presse sud-coréenne Yonhap. L’application obéit donc ainsi aux autorités. La police sud-coréenne a annoncé lundi 2 septembre avoir ouvert une enquête contre l’application dont le fondateur a été mis en examen en France, qu’elle accuse d' « encourager » la diffusion de «deep fakes» pornographiques, utilisant notamment des images de mineurs. Des accusations qui font suite aux informations du média sud-coréen Hankyoreh, qui avait affirmé que des étudiants administraient un groupe de discussion dans lequel circulaient de tels contenus à propos de leurs camarades féminines.

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