C’est la part des 18-39 ans susceptibles de cliquer sur un courriel malveillant de type phishing, selon un rapport de SoSafe, socialiste en matière de sensibilisation à la cybersécurité, qui dément l’hypothèse bien établie selon laquelle les jeunes sont plus à l’aise avec le numérique, et donc plus à même de reconnaître les attaques par phishing. Les utilisateurs plus âgés (50 ans et plus) sont nettement plus prudents lorsqu’il s’agit d’ouvrir des e-mails, avec un taux de clic moyen de seulement 19 %.