Quelle est la raison d’être de l’agence ?
Nous avons à coeur de privilégier l’impact positif de nos projets pour nos clients.
L’impact sur leur business, l’impact sur leur communication, l’impact sur l’environnement…
En somme, nous avons envie de refaire le monde ; digital bien sûr, mais pas que.
Nous avons envie qu’il soit plus beau, plus intelligent, plus coopératif.
Oui, nous sommes un brin utopistes, mais nous restons pragmatiques.
Comme des « makers », il nous faut trouver des solutions aux problèmes d’aujourd’hui ; comme des « designers », nous tentons de rendre le monde plus facile.
Comment l’agence conçoit-elle l’avenir de sa profession ?
Face à la nouvelle donne imposée par la crise sanitaire, notre quotidien professionnel et personnel change, nous demandant toujours plus d’agilité. Nous devenons ingénieux, patients et multitâches.
Le rôle de l’agence est de se positionner en sparring partner, pour aider à la prise de hauteur et trouver les solutions inédites afin de faire face.
La faculté à penser “out of the box” et contourner tout ce qui conduit à l’inertie en interne sont les deux atouts maîtres de nos structures. Allons plus vite dans les logiques de co-création et de design thinking.
Demain le « comment » aura autant d’importance que le « quoi » et le « pourquoi ». Prendre du recul impose d’être plus inclusif dans la construction de nos solutions, plus éveillé aussi aux changements auxquels les publics aspirent.
L’accessibilité numérique ou la sobriété énergétique sont autant de facteurs à valeur ajoutée qui ne doivent plus simplement être une option : c’est le devoir des agences de tendre vers un impact plus positif.
Quels seront les principaux enjeux pour les marques dans les mois à venir ?
“Le monde d’après”, en attendant qu’il tienne ses promesses de changement, se prépare, s’anticipe et s’accompagne.
Nous avons tous (agences et annonceurs) à remettre en question nos certitudes, quant à nos modes de fonctionnement, notre capacité de résilience, et nos perspectives de croissance.
Si nos organisations ne sont pas toutes vouées à devenir des « entreprises à mission », nous avons le devoir de nous poser la question de notre capacité d’action pour changer les choses.
La vision n’est cependant pas une chose innée. Ceux qui ont eu à préciser leur raison d’être avant la crise ont sans aucun doute un coup d’avance pour affronter demain.
Mais ce n’est pas parce qu’une expérience n’a jamais été menée qu’il ne faut pas la tenter. Voici donc ce que nous vous proposons : ensemble, tentons de rebattre les cartes du jeu avec une seule règle, celle de l’impact positif.
Ensemble, parce que pour une fois, nous avons face à nous une même réalité.
Ensemble parce que le chantier est bien trop grand pour tenter de l’affronter seul.
Ensemble parce qu’un impact ne peut être positif que s’il est réfléchi collectivement.