Entre TF1 et la fiction, c’est une histoire qui dure, une réussite que les années, les crises et les changements de mode n’ont fait que renforcer et confirmer. Après les succès du « Bazar de la Charité » (8,4 millions de téléspectateurs en moyenne), de « Balthazar » (7,2M) ou de « Pourquoi je vis », téléfilm sur l’histoire de Grégory Lemarchal (8M), la chaîne poursuit donc sur cette voie avec plus d’une vingtaine de nouveautés pour 2021 ! « Nous proposons un line up extrêmement riche mêlant mini-séries, séries et fictions unitaires de tous genres (polars, comédies, drames, histoires vraies…) », précise Anne Viau, Directrice artistique de la fiction française du groupe TF1 qui observe l’appétit grandissant des téléspectateurs pour les fictions françaises : « elles sont ancrées dans notre culture et nos références, jouent sur l’identification du public qui peut ainsi se retrouver dans les personnages et les histoires racontées ; c’est la force du local ».
Avec à la clé un public large, familial et transgénérationnel. Les audiences enregistrées au mois de janvier confirment l’ampleur de l’engouement : Avec 8,7 millions de téléspectateurs et 32,8 % de part d’audience dès le premier épisode « La promesse » réalise le meilleur score de sa catégorie depuis 2015. La très attendue « Je te promets », adaptation de la série « This is us » a confirmé cet excellent début d’année en séduisant particulièrement les cibles féminines (36% de PdA FRDA-50 – record depuis 2006) et jeunes (40% de PdA sur les 15-24ans).
De manière plus générale, TF1 mise sur une véritable montée en gamme et une premiumisation de son offre. En témoigne la diffusion en 2021 de nombreux unitaires événements aux castings prestigieux, souvent issus du cinéma, comme dans « Un homme d’honneur » (Kad Merad, Gérard Depardieu, Zabou Breitman…), « Une si longue nuit » (Mathilde Seigner, Jean Pierre Darroussin) ou encore « Rebecca » (Anne Marivin, Benjamin Biolay, etc...). En ce qui concerne les séries récurrentes, « nous aimons offrir au public des personnages aux personnalités atypiques, des caractères forts dont on se souviendra, à l’image de Balthazar (Tomer Sisley), Isabelle Nanty dans Munch, et, prochainement, Le remplaçant avec Joey Starr en prof de français, ou HPI avec Audrey Fleurot », reprend Anne Viau.
Très attachée à parler de la société et des problématiques qui l’animent, la chaîne mettra prochainement en lumière la question de la fin de vie, évoquée dans « La dernière partie » avec Franck Dubosc, mais aussi la dysphorie du genre ou encore les grandes affaires criminelles et judiciaires comme « Une affaire française » sur l’histoire du petit Grégory. Autant de choix éditoriaux ambitieux, variés et fédérateurs qui font aujourd’hui la richesse et la singularité de la fiction chez TF1.
La fiction, un contexte d’insertion publicitaire particulièrement engageant
En collaboration avec l’institut Ipsos, TF1 PUB présente une étude sur l'engagement des Français autour des programmes TV afin de démontrer l’importance du contexte d’insertion et son impact publicitaire en termes de mémorisation, d'image ou d'attractivité. Parmi les programmes qui génèrent le plus d'engagement, la fiction française arrive largement en tête avec un score de 86% pour les séries et 83% pour les unitaires.
Anne Viau, Directrice artistique de la fiction française du groupe TF1