entendu le 14 mars par l’Assemblée nationale qui mène actuellement une série d’auditions dans le cadre de l'attribution à venir des fréquences de la TNT, a, entre autres, dénoncé un « acharnement » contre ses émissions, dont les polémiques ne représenteraient que « 0,1 % » des heures d’antenne. L’animateur controversé a également reconnu que certains des faits ayant fait polémique « n’auraient pas dû se passer ».