Pour promouvoir son offre sur les verres progressifs et rassurer les quadragénaires paniqués à l’idée de devoir porter des lunettes parce que leur vue baisse avec l’âge, Atol a choisi un savant mélange d’humour et de nostalgie. Dans un film de quarante secondes, l’opticien énumère tout ce à quoi on a survécu quand on a 40 ans : les cagoules obligatoires, les chaussures « méduses » à la plage, les bouchées à la reine de la cantine, les fils de téléphone trop courts et les numéros trop longs pour être composés sur les claviers rotatifs ou encore les après-midi sans internet. Le message d’Atol est simple : quand on a survécu à tout ça, on ne peut pas se laisser abattre par un petit problème de vue qui baisse, surtout quand un test de vue est offert.