Alors que les algorithmes ont gagné en influence dans nos vies à travers leurs recommandations, la Fnac a lancé la première campagne antipersonnalisation. Le but : pousser les utilisateurs vers les objets culturels qui avaient le moins de chances d’être appréciés selon leurs données, mais le maximum de chances de les ouvrir à un horizon culturel différent. Sur la base de profils de données réels, l’enseigne a détourné le mécanisme de recommandation pour sélectionner des contenus que les utilisateurs n’avaient que 2% de chances d’aimer. Un bot Twitter a également été utilisé pour pousser des tweets avec du contenu culturel à l’opposé de ce que les gens aiment et partagent sur les réseaux sociaux. Une campagne prônant l’ouverture d’esprit qui a généré un taux d’engagement record de 35,7%.
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