Libération a été victime d’une cyberattaque par un logiciel malveillant dans la nuit du jeudi 24 au vendredi 25 octobre. Les pirates cherchaient à paralyser le média pour obtenir une rémunération illicite. Ce logiciel s’est propagé dans le système informatique et a tenté de verrouiller les fichiers en les cryptant. La rédaction s’est organisée pour maintenir l’édition papier du samedi 27 octobre, réduite de 8 pages (40 au lieu de 48) en raison de l’atteinte de l’outil de mise en page notamment. Les salariés ont été incités au télétravail pour limiter la vulnérabilité de l’infrastructure interne et l’accès au réseau Wifi interne a été désactivé. Des clés 5G ont été distribuées aux salariés pour continuer leur travail. Cette attaque incite les organes de presse à renforcer leurs protections numériques

Lire aussi :