télévision

Débouté en première instance, Bolloré poursuit en diffamation, ce mardi 12 février devant la cour d'appel de Versailles, un reportage intitulé «Vincent Bolloré, un ami qui vous veut du bien ?», diffusé en 2016 et couronné du prix Albert-Londres. En juin dernier, le journaliste Tristan Waleckx et France Télévisions avaient été relaxés par le tribunal correctionnel Nanterre. Le magnat français, ainsi que Bolloré SA et Bolloré Africa Logistics, ont fait appel, mais ce deuxième procès ne peut porter que sur les intérêts civils. Chaque partie civile réclame 150 000 euros de dommages et intérêts pour le préjudice d'image. Le journaliste retraçait dans le reportage le parcours de l'industriel, sa reprise en main de Canal+ et sa présence en Afrique.



Suivez dans Mon Stratégies les thématiques associées.

Vous pouvez sélectionner un tag en cliquant sur le drapeau.