Facebook, Tesla, et Renault-Nissan, figurent sur le podium du baromètre du bad buzz de 2018, établi comme chaque année par MMC et qui se fonde sur une base de données de plus de 2500 polémiques. Plus de 70% des bad buzz sont liés à l’un des cinq sujets les plus sensibles : discrimination sexuelle, non-respect des clients, discrimination ethnique, comportements à risque/déviants et manipulation. En 2018, les GAFA et les géants de la tech sont en tête des multirécidivistes du bad buzz et, à ce titre, sont les plus surveillés par les internautes. Par ailleurs, selon MMC, si Starbucks a réussi à transformer un bad buzz en publicité rédactionnelle, les dirigeants de Dolce & Gabbana ont aggravé la polémique à laquelle leur marque était confrontée par une gestion de crise inadaptée.
